Exposition “La science peut-elle être à la fois ouverte et fermée ?”

Quand on parle de science ouverte (Open Science), on fait référence à la diffusion sans entrave des résultats, des méthodes et des produits de la recherche scientifique. Pour résumer, la science ouverte consiste à rendre “accessible autant que possible et fermé autant que nécessaire” les résultats de la recherche. Creative Commons, Open science, Open data : si les termes vous sont peut-être familier, leur signification et leurs applications peuvent elles rester floues.

Pour faire le point et le plein d’infos sur l’Open Science, rendez-vous à la Bibliothèque Universitaire (BU) du Bourget-du-Lac du 24 octobre au 4 novembre pour découvrir l’exposition “La science peut-elle être fermée et ouverte à la fois ?”, conçue par le SCD de l’Université Paris Diderot. Cette exposition s’inscrit dans le cadre de l’International Open Access Week 2022.

L’exposition sera également installée sur le campus de Jacob-Bellecombette du 8 au 18 novembre, et sur le campus d’Annecy du 21 novembre au 3 décembre 2022.

Et pour ceux et celles qui souhaitent davantage d’informations, n’hésitez pas à contacter vos équipes des BU !

INTERNATIONAL OPEN ACCESS WEEK : KÉSAKO ?

La semaine du libre accès est une occasion inestimable de relier l’élan mondial en faveur du partage ouvert des connaissances à l’avancement des changements politiques et à l’importance des questions sociales qui touchent les gens dans le monde entier. L’événement est célébré par des particuliers, des institutions et des organisations du monde entier, et son organisation est dirigée par un comité consultatif mondial.

Choisi par le comité consultatif de la semaine du libre accès, le thème de cette année est l’occasion de se réunir, d’agir et de sensibiliser à la manière dont le libre accès permet la justice climatique. L’accent mis cette année sur la justice climatique vise à encourager la connexion et la collaboration entre le mouvement climatique et la communauté ouverte internationale. Le partage des connaissances est un droit, et la lutte contre la crise climatique exige l’échange rapide de connaissances au-delà des frontières géographiques, économiques et disciplinaires.