Le CoStrat, tenu sur un format de deux heures, a offert un espace stratégique pour analyser les premiers mois de déploiement de la Chimie Verte Academy. Ce temps d’échange a permis aux partenaires de partager une lecture commune de l’avancée du programme, de consolider les acquis et d’identifier les leviers d’amélioration pour la suite. L’ensemble des documents associés (présentations, synthèses et compte rendu détaillé) est disponible dans le dossier de l’action CoPil.
Les réussites marquantes de l’année 1
Plusieurs avancées structurantes ont été unanimement saluées :- Une gouvernance installée et opérationnelle, avec un pilotage régulier (CoDir, CoPil), une participation active des partenaires et la mise en place des premières commissions thématiques (ComRH, ComQuali).
- Une visibilité nationale accrue, grâce au lancement officiel, à la communication institutionnelle, aux premières actions de valorisation et à une dynamique croissante sur les réseaux professionnels.
- Le recrutement et la montée en puissance des équipes, permettant la mise en œuvre concrète des actions au sein des universités et auprès des partenaires socioséconomiques.
- La constitution d’une identité commune, partagée à travers la plateforme de marque, les outils visuels et les messages structurants, facilitant les démarches externes comme internes.
- Des premières actions engagées dans chaque axe, montrant la capacité du consortium à transformer une feuille de route en réalisations tangibles.
Les points de blocage et sujets à consolider
Le CoStrat a également permis d’identifier plusieurs sujets nécessitant un travail prioritaire pour assurer la fluidité des actions à venir :- Une coordination inter-établissements encore hétérogène, notamment dans le partage des informations, la remontée des besoins et la synchronisation du calendrier des actions.
- Des périmètres et responsabilités à clarifier, en particulier entre certaines instances et entre les équipes académiques et administratives.
- La nécessité de mieux mutualiser les ressources, notamment pédagogiques, organisationnelles et documentaires, afin d’éviter les redondances et d’optimiser l’efficacité globale.
- Un besoin de lisibilité renforcée pour les partenaires industriels, afin de rendre plus simples les points d’entrée, les actions disponibles et les bénéfices directs de leur implication.
- La gestion des charges et priorités, encore parfois difficile dans un contexte de montée en compétence des équipes recrutées et d’articulation avec les missions existantes.